Pomme – The Big Apple

Portrait de Duke Ellington, Cat Anderson, et Sidney De Paris(?), Aquarium, New York, N.Y., ca. Nov. 1946 - Photo ©The Library of Congress
Portrait de Duke Ellington, Cat Anderson, et Sidney De Paris(?), Aquarium, New York, N.Y., ca. Nov. 1946 - Photo ©The Library of Congress

Il faut chercher l’origine du surnom de New York dans les courses et le jazz. C’est apparemment John J. Fitzgerald, chroniqueur des courses de chevaux au Morning Telegraph, dans les années 20, qui lança le terme de « Big Apple » — La Grosse Pomme.

En reportage à la Nouvelle Orléans, il entendit des valets d’écurie noirs-américains appeler les champs de course de New York, « The Big Apple. » Le terme lui plut et il donna comme titre à sa chronique « Around the Big Apple. » « The Big Apple » servit par la suite à décrire tout ce qui touchait aux courses à New York. Dix ans plus tard, de nombreux musiciens de jazz commencèrent à utiliser le terme de « Big Apple » pour désigner n’importe quelle grande ville surtout du nord des Etats-Unis, puis pour désigner New York, et plus particulièrement Harlem, comme la capitale mondiale du jazz.

Par extension, « The Big Apple » devint synonyme de New York et le terme de « Fun City » –la ville où l’on s’amuse bien– qui était très utilisé dans les années 60 disparut au profit de « The Big Apple. »