La Maison-Blanche
Le 2 novembre 2018
« Les États-Unis ont lancé une campagne de pression économique afin de nier au régime les fonds dont il a besoin pour faire avancer ses objectifs sanglants. » – le président Donald J. Trump
Réimposition de toutes les sanctions : le président Donald J. Trump réimpose les sanctions les plus strictes jamais imposées à l’Iran, en ciblant bon nombre des secteurs critiques du régime corrompu.
- Le 5 novembre 2018, toutes les sanctions américaines qui avaient été levées dans le cadre du terrible accord iranien sur le nucléaire seront pleinement réimposées.
- Accompagnées de mesures sans précédent prises par l’administration Trump, elles constitueront le régime de sanctions le plus strict jamais imposé à l’Iran.
- Les sanctions cibleront des secteurs critiques de l’économie iranienne, tels que ceux de l’énergie, du transport de marchandises, de la construction navale et des finances.
- Plus de 700 personnes, entités, navires et aéronefs figurent à nouveau sur notre liste de sanctions, y compris les grandes banques iraniennes, les principaux exportateurs de pétrole et les grandes sociétés de transport de marchandises.
- Les sanctions ciblent également les opérations avec la Banque centrale d’Iran et certaines institutions financières iraniennes désignées.
- La vente de denrées alimentaires, de produits de base agricoles, de médicaments et d’appareils médicaux à l’Iran est depuis longtemps exemptée de nos sanctions et cela reste le cas.
- La réimposition de sanctions empêchera le régime d’obtenir les recettes qu’il utilise pour apporter un soutien financier à des groupes terroristes, pour alimenter l’instabilité dans le monde, pour financer ses programmes nucléaire et balistique, ainsi qu’enrichir ses dirigeants.
Pleine application : le président Trump continuera à s’ériger contre l’agression du régime iranien et fera appliquer pleinement les sanctions réimposées.
- L’administration Trump à l’intention de pleinement appliquer toutes les sanctions américaines imposées à l’Iran et ciblera les personnes qui tenteront de les enfreindre ou de les contourner.
- Les entités qui n’ont pas pu réduire leurs activités passibles de sanctions avec l’Iran risquent des conséquences graves.
- L’administration a déjà émis 19 cycles de sanctions, désignant 168 personnes associées à l’Iran.
- Ces personnes ont été ciblées pour leurs liens avec le soutien que l’Iran apporte au terrorisme, avec le programme de missiles balistiques, les violations des droits de l’homme, les activités criminelles, entre autres.
- Les exportations de pétrole iranien ont chuté de près d’un million de barils par jour depuis leur apogée au mois de juin dernier, et plus de vingt pays ont réduit leurs importations de pétrole iranien à néant.
- L’administration fait pression sur d’autres importateurs pour réduire à zéro leurs activités le plus rapidement possible.
- Nous offrons moins d’exceptions aux sanctions que l’administration précédente.
Assurance de la stabilité des marchés pétroliers : les États-Unis sont confiants quant au fait que les marchés énergétiques resteront bien approvisionnés malgré la réduction des exportations de pétrole iranien.
- Entre août 2017 et août 2018, la production de pétrole brut des États-Unis a augmenté de 2,1 millions de barils par jour et les exportations ont augmenté de presque 1 million de barils par jour, ajoutant ainsi à la liquidité du marché.
- Dans l’année qui vient, la production des États-Unis augmentera d’un million de barils par jour ou plus.
- Nous travaillons avec les producteurs de pétrole du monde entier pour qu’ils augmentent leur approvisionnement également.
- Du fait de l’augmentation de la production, des analystes de tendances respectés, tels que l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA), s’attendent à ce que l’approvisionnement pétrolier au niveau mondial augmente de manière à suivre la demande à la fin 2018 et à la dépasser en 2019.
Nous vous proposons cette traduction à titre gracieux. Seul le texte original en anglais fait foi.