
Écrivaine, née à Cornwall (New York), morte à New York City (New York)
Djuna Barnes a tout d’abord travaillé à New York comme journaliste, en particulier pour Vanity Fair. Elle arrive à Paris en 1921, munie d’une lettre d’introduction pour l’écrivain irlandais James Joyce, avec qui elle se lie d’amitié. Elle réalise des interviews de ses compatriotes pour McCall’s Magazine, puis commence à écrire pour The Little Review. Elle se lie alors avec d’autres expatriés de la « Génération Perdue », en particulier Gertrude Stein, Sylvia Beach et Peggy Guggenheim. Elle habite 9 rue Saint-Romain (6e). En 1936, grâce à T. S. Eliot et avec le soutien matériel de Peggy Guggenheim, paraît à Londres son roman Nightwood, roman à clé qui décrit sa vie à Paris. En 1940, Djuna Barnes abandonne la littérature et retourne vivre aux États-Unis.